ImunoBran® MGN-3

ImunoBran® = BioBran® = Bi.Bran®


Vous voulez en savoir plus sur le système immunitaire ?

Système immunitaire 

Aperçu

Le produit ImunoBran® MGN-3 a été développé au Japon en 1992 par M. Hiroaki Maeda, actuel directeur du centre de recherche et de développement de la société Daiwa Pharmaceutical Co., Ltd. à Tokyo, Japon. Maeda s'est concentré sur la recherche d'une solution pour les gens et les organismes agricoles à base de phytonutriments naturels. À la fin des années 80 son attention s'est tournée sur les polysaccharides dont on savait qu'ils renforçaient la réponse immunitaire et il a réussi à développer un complément du système immunitaire - le AHCC®.

L'engagement de la société Daiwa Pharmaceutical, dirigée alors par M. Yasuo Ninomiya, a permis à Maeda de développer un nouveau complexe de polysaccharides à courte chaîne (avant tout sur la base d'arabinoxylane et autres hémicelluloses) auquel il a donné l'appellation générique de MGN-3. Cette appellation contient les initiales des noms de messieurs M. Maeda, G. Ghoneum et N. Ninomiya qui sont à l'origine de leur développement, le numéro 3 indiquant la troisième génération du produit (la plupart de la recherche immunologique du produit a été ensuite réalisée par Mamdooh Ghoneum, professeur d'immunologie à l'université californienne Drew University of Medicine and Science de Los Angeles). La société Daiwa a ensuite introduit sur le marché le complexe MGN-3 sous le nom commercial ImunoBran® MGN-3.

Produit ImunoBran® MGN-3

Complément alimentaire non toxique à l'arabinoxylane (ou aliment fonctionnel), produit par la dislocation de la fibre du son de riz à l'aide d'enzymes du champignon Shiitake. Il a été cliniquement prouvé qu'il améliorait de manière significative les systèmes immunitaires affaiblis et qu'il constituait donc un complément alimentaire approprié pour les personnes dont l'immunité a été affaiblie.  (Une étude narrative est disponible ICI : Propriétés bénéfiques pour la santé et applications cliniques de l'arabinoxylane de son de riz modifié par l'enzyme du champignon Shiitake

Qu'est-ce que le composé d'arabinoxylane ImunoBran® MGN-3?

Il est bien documenté depuis de nombreuses années que les grandes molécules de certains polysaccharides - hydrates de carbone complexes tels que la fibre végétale par exemple - sont capables de stimuler le système immunitaire. De manière générale, d'après les recherches effectuées, la fibre est mise en rapport avec la réduction du niveau de cholestérol, l'amélioration du métabolisme du sucre et la réduction de la toxicité intestinale; et le son du riz a de surcroît des propriétés antivirales alors que la fibre de certains types de champignons augmente de manière prouvée la réponse immunitaire. Par contre, comme nous le savons, la fibre végétale est le plus souvent indigeste pour l'organisme humain et ne fait que traverser le corps, et celui-ci ne profite donc pratiquement pas de ses avantages pour l'immunité. Or si on scinde les molécules longues des polysaccharides (de son de riz, concrètement) en plus petites appelées hémicelluloses et dont les plus puissantes sont précisément les composés d'arabinoxylane, non seulement ces avantages se multiplient-ils, mais encore et surtout deviennent-ils utilisables par le système immunitaire humain étant donné que, ainsi ajustés, ces composés ont alors une masse moléculaire suffisamment petite pour pouvoir être absorbés par l'intestin grêle et passer dans le circuit sanguin.

La société japonaise Daiwa Pharmaceutical est un producteur d'avant-garde de ce type de complément alimentaire hémicellulosique qui possède son propre brevet pour le processus unique de fission de la fibre de son de riz (en partie hydrolysée) à l'aide d'enzymes d'extrait de lentin comestible, champignon autrement connu sous le nom Shiitake (lat. Lentinula edodes) et dont le résultat est un mélange naturel unique d'hémicelluloses dont la composante de base est le composé d'arabinoxylane, hémicellulose b-1,4-xylopyranose. (Et même si l'un des ingrédients utilisés dans la fabrication est le champignon Shiitake, le produit final n'en contient aucune trace si bien que les personnes souffrant d'intolérance aux champignons ne doivent pas craindre de réaction). L'illustration ci-après présente la molécule de base de la fibre et sa forme scindée ou "réduite" - en l'occurrence l'hémicellulose appelée "arabinoxylane".

                                                                                                                 


Le mélange des composés résultant de ce processus a reçu l'appellation générique d´ImunoBran® MGN-3 - ou encore ce nom sous sa forme raccourcie d´ImunoBran® MGN-3 (le MGN-3 - appellation générique des produits - est le nom dont il est fait usage dans la recherche, tout comme celui générique de MRB qui représente les initiales de l'expression anglaise signifiant fibre modifiée de son de riz). On utilise aussi l'expression fibre d'arabinoxylane ImunoBran® MGN-3 fait que l'arabinoxylane en est l'une de ses composantes principales. Étant un mélange de composantes naturelles (hémicelluloses) constitué de toute une palette de polysaccharides à chaîne courte, le ImunoBran® MGN-3 est beaucoup plus acceptable par l'organisme que les substances simples (habituellement comprises dans les médicaments conventionnels). Cette large palette constituée de composantes naturelles est vraisemblablement ce qui explique que cette substance ne fait preuve d'aucune toxicité et ne possède aucun effet secondaire indésirable.

Système immunitaire

Le système immunitaire représente une force collective constituée d'un billion de globules blancs, de la moelle osseuse, des anticorps, des cytokines et du thymus - toute une armée qui aide à dévoiler et détruire les millions de micro-organismes (bactéries, virus, parasites, champignons) qui pénètrent chaque jour dans notre corps et en même temps dans des milliers de nos cellules et qui les changent en des cellules génétiquement anormales ou cancéreuses. Le système immunitaire est considéré en réalité comme étant tout aussi complexe que le système nerveux; il est capable non seulement de produire un anticorps spécifique pour chacun des millions de causeurs d'infections mais aussi de se mettre en mémoire pour les dizaines d'années qui suivent comment reproduire cet anticorps en cas de besoin.


Quel est l'effet sur l'organisme?

Le composé d'arabinoxylane ImunoBran® MGN-3 est capable de stimuler un système immunitaire. Et bien que le mécanisme exact de l'effet ne soit pas connu, il semble que le produit agit par une augmentation de la production par le corps des cytokines naturelles telles que les interférons, les interleukines et facteurs de nécrose tumorale qui contribuent non seulement à la destruction des cellules défectueuses et des virus, mais aussi qui, en même temps, augmentent l'activité des lymphocytes - cellules B, cellules T et surtout cellules NK (naturelles tueuses), ceci ayant pour effet de relancer le système immunitaire. Les cellules B s'occupent de la production des anticorps et les cellules T et NK circulent dans toute corps et détruisent les cellules défectueuses cancéreuses et les cellules attaquées par des virus ou des bactéries (une cellule NK est capable de tuer jusqu'à 27 cellules cancéreuses au cours de sa vie ; elle se colle dessus et leur injecte des granulés chimiques mortels qui liquident la cellule anormale en l'espace de 5 minutes).

Lorsque l'organisme est en stress ou touché par la maladie, il se peut que le système immunitaire devienne surchargé et que l'activité des cellules de protection se ralentisse. Si de surcroît un traitement médicamenteux, tel que la chimiothérapie en présence d'un cancer, vient s'y ajouter, l'activité du système immunitaire est encore plus inhibée. Un système immunitaire affaibli n'est plus en mesure ensuite de protéger l'organisme contre la propagation des infections et la prolifération des cellules cancéreuses.

La recherche sur ImunoBran se concentre principalement sur un paramètre - l'activité des cellules NK - qui est facilement mesurable et qui nous donne une bonne image de la force globale du système immunitaire. La plupart des études sur ImmunoBran® MGN-3 ont porté sur le contrôle de l'activité des cellules NK, car il a été démontré qu'ImmunoBran® MGN-3 est capable d'augmenter l'activité ralentie des cellules NK. ImunoBran® MGN-3 agit de la même manière sur l'activité d'autres facteurs du système immunitaire tels que le TNF (tumor necrosis factor). En outre, cet effet est obtenu sans toxicité concomitante ni effets secondaires indésirables. 

Un graphe sur lequel on voit à quelle augmentation de l'activité des cellules NK on peut s'attendre déjà au bout de deux semaines de prise du complément alimentaire ImunoBran® MGN-3. L'activité des cellules NK est mesurée en introduisant dans une éprouvette le sang du patient en présence des cellules cancéreuses vivantes; quatre heures après, la part des cellules NK détruites par les cellules sanguines est mesurée à l'aide d'un marqueur radioactif. Malgré le fait que, dans le cadre de l'expérience, l'administration du produit a été arrêtée au bout de 2 semaines, l'activité des cellules NK est restée au niveau de celle du groupe de contrôle pendant encore plusieurs semaines.

                                                                                                                                         

La recherche a montré par ailleurs que si on introduit l´ImunoBran® dans un régime régulier d'alimentation, la stimulation du système immunitaire ne baisse pas forcément au fil du temps. Le fait que l'effet ne diminue pas - absence d'hyporéponse - tout au long de l'usage prolongé du produit, est un phénomène très inhabituel pour les produits immuno-modulaires et signifie que le ImunoBran® fonctionne sans cesse y compris en cas d'administration prolongée du produit. L'activité des cellules NK atteint habituellement son summum après environ un ou deux mois de prise d'une forte dose du produit après laquelle on peut passer à un dosage moindre, celui d'entretien. Le temps nécessaire à l'atteinte du summum de l'activité des cellules chez le patient dépend de la dose journalière du produit.

La capacité d'augmenter l'activité du système immunitaire et de réduire l'inflammation fait d´ImunoBran® un complément alimentaire important pour grand nombre de situations.

Vous trouverez de plus amples informations sur les points suivants dans nos articles scientifiques publiés et nos études cliniques. 



Nos études:

Les effets de l'ImunoBran/BioBran/MGN-3, un son de riz arabinoxylane, sur la qualité de vie liée à la santé des personnes âgées en bonne santé : un essai clinique randomisé, en double aveugle, contrôlé par placebo

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Objectif: La population âgée mondiale augmente rapidement et le besoin de trouver des mesures pour combattre le déclin des fonctions physiques, mentales et cognitives associé à l'âge et pour améliorer la qualité de vie liée à la santé (HRQOL) se fait de plus en plus sentir. Le Biobran/MGN-3, un son de riz arabinoxylane, a déjà été signalé comme améliorant la qualité de vie des patients atteints de cancer. L'objectif de la présente étude était d'examiner l'effet d'une faible dose de supplémentation en Biobran/MGN-3 sur la QDV dans une population de personnes âgées en bonne santé. Méthodes Soixante sujets apparemment sains, 40 hommes et 20 femmes, âgés de plus de 56 ans, ont été recrutés et répartis au hasard en deux groupes recevant soit un placebo, soit Biobran/MGN-3 (250 mg/jour pendant 3 mois). Les participants n'ont pris aucune vitamine ni aucun médicament pendant l'étude et leur état de santé a été étroitement surveillé. La QVLS a été évaluée au début et à la fin de l'étude à l'aide de la version arabe du questionnaire SF-12v2 précédemment validée. Résultats Pour tous les domaines de la QDV mesurés, il n'y avait pas de différence statistiquement significative dans les scores de départ entre les deux groupes. Par rapport aux valeurs de base et aux sujets traités par placebo, la supplémentation en Biobran/MGN-3 a amélioré de manière significative les niveaux des scores sommaires des composantes physiques et mentales, ainsi que les scores des sous-domaines rôle-physique, douleur corporelle, vitalité et fonctionnement social. Conclusion Ces résultats montrent que Biobran/MGN-3 est un agent modulateur psychoneuroimmunitaire prometteur qui pourrait améliorer la QDV chez les adultes âgés en bonne santé.


ImunoBran/Biobran/MGN-3, un son de riz arabinoxylane, améliore l'activité des cellules NK chez les sujets gériatriques : Essai clinique randomisé, en double aveugle, contrôlé par placebo            

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Objectif:  Le vieillissement est associé à un déclin de la fonction des cellules tueuses naturelles (NK) et des cellules T tueuses naturelles (NKT), ce qui peut contribuer à accroître la susceptibilité aux tumeurs malignes et aux infections. Une étude préliminaire a été menée pour examiner l'hypothèse selon laquelle l'arabinoxylane de son de riz (Biobran/MGN-3), une hémicellulose dénaturée dont l'activité immunomodulatrice est connue, pourrait contrecarrer ce déclin de l'activité des cellules NK/NKT chez les personnes âgées. Un total de 12 sujets gériatriques en bonne santé, des deux sexes et âgés de plus de 56 ans, ont participé à un essai clinique randomisé, en double aveugle, contrôlé par placebo. Six sujets ont servi de contrôle et six autres ont ingéré du Biobran/MGN-3 (500 mg/jour) pendant 30 jours. L'effet de la supplémentation en Biobran/MGN-3 sur l'activité des cellules NK/NKT a été évalué à l'aide du test de dégranulation. Tous les sujets de l'étude ont fait l'objet d'une surveillance afin de détecter l'apparition d'effets secondaires accidentels. En outre, les effets pharmacologiques de Biobran/MGN-3 sur les composants des cellules sanguines et sur les fonctions hépatiques et rénales ont également été évalués. Les résultats ont montré que Biobran/MGN-3 n'avait aucun effet sur le pourcentage total de cellules NK, mais qu'il augmentait l'activité cytotoxique de l'expression du groupe de différenciation 107a induite dans les cellules NK, par rapport aux valeurs de base et au groupe placebo (P<0,05). En outre, aucun effet secondaire n'a été observé, ce qui indique que la supplémentation en Biobran/MGN-3 est sans danger au dosage utilisé et pendant la durée d'administration. Divers effets bénéfiques supplémentaires ont été observés, notamment une amélioration du volume corpusculaire moyen et une réduction des niveaux d'enzymes hépatiques aspartate aminotransférase, ce qui suggère une amélioration de la fonction hépatique. Il a été conclu que Biobran/MGN-3 induit une augmentation significative de l'activité NK qui peut accroître la résistance aux infections virales et aux cancers dans la population gériatrique.


Essais cliniques, études de cas, articles publiés sur ImunoBran MGN-3 et le cancer

C'est avec ImunoBran® que nous disposons du plus grand nombre d'essais cliniques et d'articles scientifiques sur le cancer. Comme vous pouvez le lire, il est prouvé qu'ImunoBran améliore la qualité de vie des patients soumis à une chimiothérapie ou à une radiothérapie grâce à sa capacité à atténuer les effets secondaires des médicaments utilisés dans ces types de traitements (souvent en réduisant les nausées et la perte de cheveux). Le complément alimentaire ImunoBran a montré des résultats positifs dans les cancers du sang tels que le myélome multiple ; des résultats intéressants ont également été obtenus dans le cancer de l'ovaire, le cancer du sein... (voir la section recherche clinique pour d'autres résultats d'études). Il est important de souligner qu'ImunoBran® n'est pas un remède contre le cancer, mais plutôt un complément alimentaire utile. Toujours sous la supervision d'un médecin qualifié. Lorsqu'il est correctement dosé, le volume des tumeurs cancéreuses dans le corps peut être considérablement réduit (c'est ce qu'on appelle le processus de démolition), et ImunoBran® MGN-3 peut aider le système immunitaire à contrôler le reste (la plupart des recherches sur les effets de l'arabinoxylane contenu dans ImunoBran® MGN-3 sur le cancer ont été effectuées dans le contexte de l'application concomitante de traitements conventionnels).

Voici une sélection d'études cliniques: 

L'activation des récepteurs de reconnaissance de motifs moléculaires provoquée par l'effet synergique des immunomodulateurs de plantes peut-elle améliorer l'efficacité du traitement oncologique? Étude du cas d'une patiente souffrant d'un sarcome de l'utérus et de l'ovaire.

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Contexte : De plus en plus de preuves soutiennent l'hypothèse selon laquelle, à l'instar des microbes, divers extraits de plantes peuvent également contenir des structures semblables à des motifs moléculaires associés pathogènes (PAMP) qui peuvent activer des fonctions cellulaires de type 1 du système immunitaire inné. Étant donné qu'elles sont importantes pour la défense contre les tumeurs et que la production chimique de structures PAMP est difficilement réalisable, les extraits de plantes standardisés en fonction de leurs structures PAMP pourraient s'avérer prometteurs pour les futures thérapies anti-tumorales. Méthode : L'effet synergique de deux immunomodulateurs végétaux standardisés a été contrôlé par la mesure hémocytologique du niveau périphérique de cellules Natural Killer (NK). Des doses suboptimales de lectines d'istletoe (ML) et d'Arabinoxylan dans le MGN-3 ont été comparées en utilisant des volontaires sains. Résultats : 24h après une dose suboptimale (15 mg/kg) d'Arabinoxylan dans le MGN-3, une augmentation moyenne (+/-SEM) du niveau de NK était de 46,4 (+/-36) % et 24h après une injection suboptimale (0,45 ng/kg) de ML, une augmentation de 36 (+/-13) % a été trouvée. Si ces doses sous-optimales d'arabinoxylane et de ML étaient administrées ensemble, une augmentation très significative (293 +/-41%) a été établie, indiquant une synergie importante entre les deux (p<0,001). Une patiente atteinte d'un sarcome de l'utérus et de l'ovaire ne pouvait tolérer la chimiothérapie CYVADIC. Après sa combinaison avec le ML et l'Arabinoxylan en utilisant des doses optimales : 0,75 ng/kg et 45 mg/kg respectivement, elle a reçu six cycles de CYVADIC et, par la suite, seule l'immunothérapie lui a été administrée. Au cours des cinq années suivantes, elle n'a jamais eu de tumeur. Conclusion : La combinaison d'extraits de plantes standardisés avec des structures de type PAMP semble ouvrir de nouvelles perspectives dans la thérapie de soutien des tumeurs métastatiques. D'autres recherches sont nécessaires.


Un immunomodulateur végétal standardisé, fondé sur les faits (composé d'arabinoxylane de son de riz) peut-il accroître les effets de la gemcitabine de façon synergique? Étude de cas sur un patient présentant un carcinome canalaire du pancréas. 

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Contexte : Le carcinome canalaire pancréatique est la principale cause de mortalité par cancer. La gemcitabine associée au nab-Paclitaxel en tant que traitement standard de première ligne permet d'observer une amélioration des paramètres cliniques, mais celle-ci n'est que transitoire. Les observations immunologiques suggèrent qu'en arrière-plan de cette résistance rapide, une dysrégulation de l'équilibre immunitaire induite par la tumeur peut également jouer un rôle. Il a été démontré que les cellules immunitaires innées de type 2 induites par la tumeur activent diverses cellules régulatrices inhibitrices et des facteurs de croissance qui peuvent diminuer à la fois l'activité des effecteurs immunitaires et la sensibilité immunitaire des cellules tumorales. Comme on le sait, la sensibilité immunitaire est liée aux molécules de stress A/B liées à la chaîne du CMH de classe I (MICA et MICB) sur les cellules tumorales, qui sont les ligands du principal récepteur activateur de l'élimination (NKG2D) sur les cellules tueuses naturelles (NK). En raison de la découverte, il y a plusieurs années, que la Gemcitabine peut augmenter l'expression des molécules MICA et MICB sur les cellules tumorales, sa combinaison avec un immunomodulateur basé sur des données probantes présente un intérêt clinique croissant. Matériel et méthodes : Ce rapport présente le cas d'un patient atteint d'un adénocarcinome canalaire du pancréas métastatique et inopérable, qui a été traité par la gemcitabine (1678 mg) et le nab-paclitaxel (210 mg) tous les 1-8-15 jours du mois, en huit cycles. Cette thérapie a été régulièrement combinée avec 45 mg / kg de Biobran /MGN-3 administré par voie orale trois fois par semaine, qui est un concentré d'arabinoxylane de son de riz standardisé. Résultats : Chez un patient âgé de 56 ans, un adénocarcinome canalaire inopérable (39x46 mm) dans la partie caudale du pancréas avec des métastases hépatiques multiples (10-30 mm) a été établi par tomodensitométrie et biopsie. Le patient était en phase presque terminale (il avait perdu 27 kg de poids et souffrait de douleurs intenses). Trois mois après le début du traitement, la tomodensitométrie a révélé une rémission de la tumeur du pancréas (25x38 mm) et une diminution moyenne de 3 à 10 mm des métastases hépatiques. Sept mois plus tard, on a constaté une rémission complète de la tumeur du pancréas et une nouvelle diminution de 3 à 6 mm des métastases du foie. Après 10 mois, ces rémissions ont également été constatées. Le patient ne se plaint plus de rien et peut travailler à 100 %. Conclusion : La combinaison de la gemcitabine avec des immunomodulateurs standardisés et basés sur des preuves (comme le MGN-3) peut ouvrir de nouvelles stratégies dans la thérapie des tumeurs.


"ImunoBran MGN-3 (BioBran MGN-3)" Effet de la réduction des effets secondaires de la chimiothérapie chez les patientes atteintes d'un cancer du sein. 


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ABSTRACT... Objectif : Le but de l'étude était d'évaluer l'effet de l'ImunoBran dans la réduction des effets secondaires induits par la chimiothérapie en termes de fatigue, d'anorexie, de vomissements et de perte de cheveux, ainsi que la qualité de vie en termes de perte de poids. Cadre : Service de radiothérapie de l'hôpital Nishtar de Multan, Pakistan. Matériel et méthodes : Cinquante (50) patientes atteintes d'un cancer du sein ont été réparties au hasard en deux groupes. Les patientes du groupe A ont reçu une dose de 3 grammes de ImunoBran MGN-3 par jour une semaine avant et une semaine après la chimiothérapie. Les patientes du groupe B ont reçu une chimiothérapie seule. Au total, six cycles de chimiothérapie ont été administrés. Aucun complément vitaminé ni complément alimentaire n'a été administré durant cette étude. Les effets secondaires induits par la chimiothérapie (fatigue, anorexie, vomissements, perte de cheveux) ont été évalués à l'aide d'un questionnaire adressé aux patients avant le début de chaque cycle. Le poids a été vérifié avant chaque cycle afin d'évaluer le gain ou la perte de poids. Les globules blancs ont été contrôlés par une numération globulaire complète juste avant et une semaine après la chimiothérapie. Résultats : En six mois, cinquante (50) patientes réparties en 2 groupes (25 patientes groupe A et 25 patientes groupe B) ont été recrutées dans le service de radiothérapie de l'hôpital Nishtar de Multan, Pakistan. On a constaté une réduction significative de la fatigue et de l'anorexie chez les patientes du groupe A. 20 (80%) patientes du groupe A ont ressenti une augmentation de leur régime alimentaire et n'ont pas ressenti de fatigue sans aucun amuse-gueule ni complément vitaminé. Mais les patientes du groupe B ont demandé des amuse-gueules en raison de l'anorexie sévère après la chimiothérapie, à l'exception de 3 (12%) patientes qui n'ont pas utilisé d'amuse-gueule ni de complément alimentaire. Dans le groupe A, 15 (60%) patientes n'ont pas eu besoin d'antiémétiques, alors que dans le groupe B, toutes les patientes (100%) ont souffert de nausées sévères pendant et après la chimiothérapie. Les patientes du groupe A ont connu une chute de cheveux moins importante (28 %, soit 7 patientes) que celles du groupe B (100 %, soit 25 patientes). Conclusions : L'étude a montré qu'en aidant à optimiser le système immunitaire, ImunoBran MGN-3 peut non seulement aider à maximiser le succès du traitement, mais aussi à minimiser les effets secondaires du traitement et à améliorer la qualité de vie pendant le traitement et la convalescence.


Effet apoptotique synergique de l'arabinoxylane de son de riz (ImunoBran/MGN-3/Biobran) et de la curcumine (curcuma) sur la lignée cellulaire humaine de myélome multiple U266 in vitro

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ABSTRACT : La présente étude a été réalisée pour étudier le potentiel apoptotique synergique du son de riz arabinoxylane (MGN-3/Biobran) et de la curcumine (curcuma) sur la lignée cellulaire humaine de myélome multiple (MM) U266, in vitro. Les cellules U266 ont été cultivées avec du MGN-3 (50 ou 100µg/ml) et de la curcumine (2,5-10µM) pendant 3 jours. Les effets du MGN-3 et de la curcumine sur la croissance et la survie des cellules U266 ont été déterminés par le bleu trypan, le test MTT, l'analyse par cytométrie de flux du cycle cellulaire cancéreux et l'apoptose. L'expression de la protéine proapoptotique Bax et de la protéine antiapoptotique Bcl2 a été déterminée par analyse Western blot. Le traitement avec le MGN-3 seul ou la curcumine seule a provoqué une inhibition dose-dépendante de la prolifération des cellules U266. Cependant, un effet synergique a été remarqué après le traitement avec les deux agents qui a été maximisé à 100µg/ml de MGN-3 plus 10µM de curcumine. Cette synergie a été caractérisée par une diminution de 87% du nombre de cellules et une augmentation de 2,6 fois du pourcentage de cellules U266 apoptotiques. L'analyse du cycle cellulaire a montré une diminution de 53% du pourcentage de cellules en phase G0-G1 traitées avec le MGN-3 et la curcumine (de 36% à 17%). L'analyse de l'expression des molécules pro et antiapoptotiques Bax et Bcl-2 a révélé des effets synergiques de ces agents, l'expression de Bcl-2 étant diminuée et celle de Bax augmentée. Il en résulte un microenvironnement cellulaire favorable à l'apoptose. Nous concluons que le MGN-3 et la curcumine agissent en synergie dans l'induction de l'apoptose des cellules U266. Ces données peuvent servir de base à des études in vivo qui pourraient avoir des implications thérapeutiques.


Accueil Produits Recherche Distributeurs Contact L'activation synergique des récepteurs de reconnaissance des formes par les immunomodulateurs végétaux peut-elle renforcer l'effet de la thérapie oncologique ? Rapport de cas d'une patiente atteinte d'un sarcome de l'utérus et de l'ovaire


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Contexte : De plus en plus de preuves soutiennent l'hypothèse selon laquelle, à l'instar des microbes, divers extraits de plantes peuvent également contenir des structures semblables à des motifs moléculaires associés pathogènes (PAMP) qui peuvent activer des fonctions cellulaires de type 1 du système immunitaire inné. Étant donné qu'elles sont importantes pour la défense contre les tumeurs et que la production chimique de structures PAMP est difficilement réalisable, les extraits de plantes standardisés en fonction de leurs structures PAMP pourraient être prometteurs pour les futures thérapies contre les tumeurs. Méthode : L'effet synergique de deux immunomodulateurs végétaux standardisés a été contrôlé par la mesure hémocytologique du niveau périphérique de cellules Natural Killer (NK). Des doses suboptimales de lectines d'istletoe (ML) et d'Arabinoxylan dans le MGN-3 ont été comparées en utilisant des volontaires sains. Résultats : 24h après une dose suboptimale (15 mg/kg) d'Arabinoxylan dans le MGN-3, une augmentation moyenne (+/-SEM) du niveau de NK était de 46,4 (+/-36) % et 24h après une injection suboptimale (0,45 ng/kg) de ML, une augmentation de 36 (+/-13) % a été trouvée. Si ces doses sous-optimales d'arabinoxylane et de ML étaient administrées ensemble, une augmentation très significative (293 +/-41%) a été établie, indiquant une synergie importante entre les deux (p<0,001). Une patiente atteinte d'un sarcome de l'utérus et de l'ovaire ne pouvait pas tolérer la chimiothérapie CYVADIC. Après sa combinaison avec le ML et l'Arabinoxylan en utilisant des doses optimales : 0,75 ng/kg et 45 mg/kg respectivement, elle a reçu six cycles de CYVADIC et, par la suite, seule l'immunothérapie lui a été administrée. Au cours des cinq années suivantes, elle n'a jamais eu de tumeur. Conclusion : La combinaison d'extraits de plantes standardisés avec des structures de type PAMP semble ouvrir de nouvelles perspectives dans la thérapie de soutien des tumeurs métastatiques. D'autres recherches sont nécessaires.


Un immunomodulateur végétal standardisé, fondé sur les faits (composé d'arabinoxylane de son de riz) peut-il accroître les effets de la gemcitabine de façon synergique? Étude de cas sur un patient présentant un carcinome canalaire du pancréas. 

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Contexte : Le carcinome canalaire pancréatique est la principale cause de mortalité par cancer. La gemcitabine associée au nab-Paclitaxel en tant que traitement standard de première ligne permet d'observer une amélioration des paramètres cliniques, mais celle-ci n'est que transitoire. Les observations immunologiques suggèrent qu'en arrière-plan de cette résistance rapide, une dysrégulation de l'équilibre immunitaire induite par la tumeur peut également jouer un rôle. Il a été démontré que les cellules immunitaires innées de type 2 induites par la tumeur activent diverses cellules régulatrices inhibitrices et des facteurs de croissance qui peuvent diminuer à la fois l'activité des effecteurs immunitaires et la sensibilité immunitaire des cellules tumorales. Comme on le sait, la sensibilité immunitaire est liée aux molécules de stress A/B liées à la chaîne du CMH de classe I (MICA et MICB) sur les cellules tumorales, qui sont les ligands du principal récepteur activateur de l'élimination (NKG2D) sur les cellules tueuses naturelles (NK). En raison de la découverte, il y a plusieurs années, que la Gemcitabine peut augmenter l'expression des molécules MICA et MICB sur les cellules tumorales, sa combinaison avec un immunomodulateur basé sur des données probantes présente un intérêt clinique croissant. Matériel et méthodes : Ce rapport présente le cas d'un patient atteint d'un adénocarcinome canalaire du pancréas métastatique et inopérable, qui a été traité par la gemcitabine (1678 mg) et le nab-paclitaxel (210 mg) tous les 1-8-15 jours du mois, en huit cycles. Cette thérapie a été régulièrement combinée avec 45 mg / kg de Biobran /MGN-3 administré par voie orale trois fois par semaine, qui est un concentré d'arabinoxylane de son de riz standardisé. Résultats : Chez un patient âgé de 56 ans, un adénocarcinome canalaire inopérable (39x46 mm) dans la partie caudale du pancréas avec des métastases hépatiques multiples (10-30 mm) a été établi par tomodensitométrie et biopsie. Le patient était en phase presque terminale (il avait perdu 27 kg de poids et souffrait de douleurs intenses). Trois mois après le début du traitement, la tomodensitométrie a révélé une rémission de la tumeur du pancréas (25x38 mm) et une diminution moyenne de 3 à 10 mm des métastases hépatiques. Sept mois plus tard, on a constaté une rémission complète de la tumeur du pancréas et une nouvelle diminution de 3 à 6 mm des métastases du foie. Après 10 mois, ces rémissions ont également été constatées. Le patient ne se plaint plus de rien et peut travailler à 100 %. Conclusion : La combinaison de la gemcitabine avec des immunomodulateurs standardisés et basés sur des preuves (comme le MGN-3) peut ouvrir de nouvelles stratégies dans la thérapie des tumeurs.


Les nouveaux effets d'un complément alimentaire à base de polysaccharides hydrolysés sur les fonctions immunitaires, hépatiques et rénales chez des adultes séropositifs dans le cadre d'un essai randomisé en double aveugle contre placebo

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Résumé : L'objectif principal de l'étude était d'évaluer les effets d'un polysaccharide hydrolysé, le composé d'arabinoxylane de son de riz (RBAC), sur les fonctions immunitaires, hépatiques et rénales chez les personnes séropositives. L'intervention a été menée dans le cadre d'un essai randomisé en double aveugle contrôlé par placebo d'une durée de six mois. Quarante-sept participants VIH þ sous traitement antirétroviral stable ont été recrutés et assignés au hasard à l'une des deux conditions de l'étude (n 1⁄4 22 RBAC et n 1⁄4 25 placebo) et ont consommé 3 grammes/jour de l'un ou l'autre des composés pendant six mois. Les participants ont été évalués au début de l'étude, puis 3 et 6 mois plus tard pour les CD4þ et CD8þ, les enzymes hépatiques et la fonction rénale. Aucun effet secondaire n'a été signalé, et les marqueurs hépatiques et rénaux sont restés pratiquement dans les limites de la normale. Le pourcentage de variation du nombre de CD4þ était similaire dans les groupes placebo (þ2,2%) et RBAC (þ3,1%) après 6 mois de suivi. Le pourcentage de variation du nombre de CD8þ a significativement diminué entre le début de l'étude et 6 mois dans le groupe RBAC (-5,2%), alors qu'il a augmenté dans le groupe placebo (þ57,8% ; p 1⁄4 0,04). Le rapport CD4þ/CD8þ s'est amélioré cliniquement dans le groupe RBAC, passant de 0,95 (SD 1⁄40,62) au départ à 1,07 (SD 1⁄40,11) à 6 mois, alors qu'il a diminué dans le groupe placebo, passant de 0,96 (SD 1⁄40,80) au départ à 0,72 (SD 1⁄40,59) à 6 mois. Nos résultats ont montré une diminution statistiquement significative du nombre de CD8þ et une augmentation cliniquement significative du rapport CD4þ/CD8þ pour le groupe RBAC par rapport au groupe placebo. Ainsi, les résultats de cette étude suggèrent que les activités immunomodulatrices et antisénescentes des RBAC sont prometteuses pour la population VIH.


The clinical effectiveness of BioBran in immunotherapy for patients with hepatitis B

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Abstract: Hepatitis B virus (HBV) infection is a serious global health problem with devastating consequences of chronic hepatitis, cirrhosis, and hepatocellular carcinoma. More efficacious treatments, mass immunization programs, and safe injection techniques are essential for eliminating HBV infection and reducing global HBV-related morbidity and mortality. Antiviral therapy has been the primary treatments to date. However, conventional treatment has undesirable side-effects and continuous treatment can lead to the development of resistance. In addition, antiviral medicines are costly, thousands of dollars per year, and are not widely available in many countries, especially in the developing world. BioBran is a food supplement that is combined with conventional treatment to improve the outcome of the disease. There were 3 cases of viral B hepatitis patients who have treated by the combination of conventional antiviral therapy and BioBran were described. In these cases, blood samples were taken to measure liver function and immunopotency, and the results were compared with changes in clinical and image condition. Improvements were noted in most of the cases. Finally, some remarks were provided to enhance the effectiveness of treatment progress.


L'arabinoxylane de son de riz (ImunoBran®) réduit le taux de virémie chez les patients souffrant d'infection chronique HCV : essai randomisé*

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Objectif : Les traitements actuels du virus de l'hépatite C (VHC) ont de graves effets secondaires et sont très coûteux. Il est nécessaire d'explorer des thérapies naturelles efficaces contre le VHC, moins toxiques et plus rentables. Dans la présente étude, 37 patients atteints de VHC chronique ont été répartis au hasard en deux groupes et traités soit par interféron pégylé (PEG IFN) plus ribavirine (n = 21), soit par Biobran, un arabinoxylane issu du son de riz (1 g/jour) (n = 16). Nous avons examiné la virémie, les enzymes hépatiques, les niveaux d'interféron-γ (IFN-γ) dans le sérum et la toxicité avant et trois mois après le traitement. Les deux groupes ont montré une réduction significative et similaire de la charge virale après trois mois de traitement par rapport à la charge virale de base (P <0,05). En outre, le traitement par Biobran a entraîné une augmentation significative du taux d'IFN-γ (P <0,001). Les patients du groupe PEG IFN plus ribavirine ont présenté de la fièvre, une anémie, une thrombocytopénie et une grande fatigue. Les patients du groupe Biobran n'ont présenté aucun effet secondaire et se sont déclarés en bonne santé. Nous concluons que Biobran est un nouveau régime thérapeutique potentiel qui a un effet similaire à l'association PEG IFN et ribavirine et qui est sûr et rentable dans le traitement du VHC chronique. Notre découverte de l'efficacité de Biobran contre l'infection par le VHC justifie un examen plus approfondi dans le cadre d'essais cliniques multiples (enregistrement des essais cliniques : NCT02690103).


Les nouveaux effets d'un complément alimentaire à base de polysaccharides hydrolysés sur les fonctions immunitaires, hépatiques et rénales chez des adultes séropositifs dans le cadre d'un essai randomisé en double aveugle contre placebo

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Résumé : L'objectif principal de l'étude était d'évaluer les effets d'un polysaccharide hydrolysé, le composé d'arabinoxylane de son de riz (RBAC), sur les fonctions immunitaires, hépatiques et rénales chez les personnes séropositives. L'intervention a été menée dans le cadre d'un essai randomisé en double aveugle contrôlé par placebo d'une durée de six mois. Quarante-sept participants VIH þ sous traitement antirétroviral stable ont été recrutés et assignés au hasard à l'une des deux conditions de l'étude (n 1⁄4 22 RBAC et n 1⁄4 25 placebo) et ont consommé 3 grammes/jour de l'un ou l'autre des composés pendant six mois. Les participants ont été évalués au début de l'étude, puis 3 et 6 mois plus tard pour les CD4þ et CD8þ, les enzymes hépatiques et la fonction rénale. Aucun effet secondaire n'a été signalé, et les marqueurs hépatiques et rénaux sont restés pratiquement dans les limites de la normale. Le pourcentage de variation du nombre de CD4þ était similaire dans les groupes placebo (þ2,2%) et RBAC (þ3,1%) après 6 mois de suivi. Le pourcentage de variation du nombre de CD8þ a significativement diminué entre le début de l'étude et 6 mois dans le groupe RBAC (-5,2%), alors qu'il a augmenté dans le groupe placebo (þ57,8% ; p 1⁄4 0,04). Le rapport CD4þ/CD8þ s'est amélioré cliniquement dans le groupe RBAC, passant de 0,95 (SD 1⁄40,62) au départ à 1,07 (SD 1⁄40,11) à 6 mois, alors qu'il a diminué dans le groupe placebo, passant de 0,96 (SD 1⁄40,80) au départ à 0,72 (SD 1⁄40,59) à 6 mois. Nos résultats ont montré une diminution statistiquement significative du nombre de CD8þ et une augmentation cliniquement significative du rapport CD4þ/CD8þ pour le groupe RBAC par rapport au groupe placebo. Ainsi, les résultats de cette étude suggèrent que les activités immunomodulatrices et antisénescentes des RBAC sont prometteuses pour la population VIH.




ImunoBran/Biobran/MGN-3, un son de riz contenant de l'arabinoxylane, protège contre le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV-2) : Une étude in vitro et in silico

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Résumé : Le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV-2), l'agent causal du coronavirus 2019 (COVID-19), représente une grave menace pour la santé publique mondiale pour laquelle il n'existe actuellement aucun traitement satisfaisant. Cette étude examine l'efficacité d'ImunoBran/Biobran/MGN-3 contre le SRAS-CoV-2. ImunoBran/Biobran est un son de riz arabinoxylane qui s'est avéré inhiber de manière significative le virus de la grippe apparenté chez des sujets gériatriques. L'activité anti-SARS-CoV-2 d'ImunoBran/Biobran a été évaluée à l'aide de tests MTT et de réduction de plaque, de techniques RT-PCR et ELISA, et de mesures de l'expression des gènes et des niveaux de protéines liés au SARS-CoV-2. Pour les cellules Vero E6 infectées par le SARS-CoV-2, ImunoBran/Biobran a réduit la charge virale de 91,9 % à une dose de 100 µg/mL, il a réduit le nombre de virus (PFU/mL) de 90,6 % à 50 µg/mL, et il a présenté un indice de sélectivité significatif (EC50/IC50) de 22,5. En outre, ImunoBran/Biobran à 10 µg/mL a inhibé la protéinase de type papaïne (PLpro) de 87 % et l'ACE2 SARS-CoV-2 Sprotein RBD de 90,5 %, et il a supprimé de manière significative l'expression des gènes du SARS-CoV-2, en diminuant l'expression des gènes E et RdRp de 93 % chacun à une dose de 50 µg/mL et en inhibant la protéine E de 91,3 %. Une étude d'amarrage in silico a également été réalisée pour examiner l'interaction protéine-protéine (PPI) entre SARS-CoV-2 RBD et DC-SIGN ainsi qu'entre la sérine carboxypeptidase et la protéase de type papaïne PLpro. On a constaté que la sérine carboxypeptidase, un ingrédient actif de Biobran, interférait avec la liaison du SARS-CoV-2 à son récepteur DC-SIGN sur les cellules Vero, empêchant ainsi l'entrée du SARS-CoV-2 dans la cellule. En outre, il entrave le cycle de réplication virale en se liant à PLpro. Nous concluons que l'ImunoBran/Biobran possède une puissante activité antivirale contre le SARS-CoV-2 in vitro et suggérons que l'ImunoBran/Biobran pourrait être capable de prévenir l'infection par le SARS-CoV-2. Cela justifie des recherches plus approfondies dans le cadre d'essais cliniques.


Une supplémentation alimentaire en ImunoBran/BioBran/MGN-3 augmente la résistance innée et réduit l'incidence des maladies de type grippal chez les personnes âgées : Un essai clinique pilote randomisé, en double aveugle, contrôlé par placebo

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Résumé : Le syndrome grippal (SG) demeure une cause majeure de mortalité et de morbidité graves chez les personnes âgées. Le vieillissement est associé à une diminution de la capacité à détecter les pathogènes et à mettre en place des réponses immunitaires innées et adaptatives efficaces, ce qui rend nécessaire le développement de nutraceutiques protecteurs. Le Biobran/MGN-3, un arabinoxylane issu du son de riz, a de puissants effets antivieillissement et immunomodulateurs, ce qui suggère qu'il pourrait être efficace contre les SG. L'objectif de la présente étude était d'examiner l'effet du Biobran/MGN-3 sur l'incidence des SG, l'activité des cellules tueuses naturelles (NK) et les expressions de RIG-1 (gène 1 inductible à l'acide rétinoïque), MDA5 (protéine 5 associée à la différenciation du mélanome) et leurs gènes de signalisation en aval ISG-15 (gènes 15 stimulés par l'interféron) et MX1 (résistance 1 du myxovirus (influenza), inductible à l'interféron). Un essai clinique en double aveugle, contrôlé par placebo, a inclus quatre-vingts personnes âgées de plus de 55 ans, 40 hommes et 40 femmes, qui ont reçu soit un placebo, soit Biobran/MGN-3 (500 mg/jour) pendant 3 mois au cours de la saisonnalité connue des SG (pic d'incidence) en Égypte. L'incidence des SG a été confirmée cliniquement selon les critères de définition de cas de l'OMS. Les paramètres hématologiques, hépatiques et rénaux ont été évalués chez tous les sujets, tandis que l'activité des cellules NK et NKT (natural killer T) a été évaluée chez six sujets choisis au hasard dans chaque groupe par le test de dégranulation. L'effet de Biobran/MGN-3 sur RIG-1 et MDA5, ainsi que sur ISG15 et MX1 en aval, a été évalué dans les cellules épithéliales pulmonaires BEAS-2B à l'aide de la cytométrie de flux. Le taux d'incidence et la densité d'incidence des SG dans le groupe Biobran/MGN-3 étaient respectivement de 5,0 % et de 0,57 cas pour 1000 jours-personnes, contre 22,5 % et 2,95 cas pour 1000 jours-personnes dans le groupe placebo. De plus, l'ingestion de Biobran/MGN-3 a augmenté de manière significative l'activité des NK par rapport aux niveaux de base et au groupe placebo. De plus, Biobran/MGN-3 a augmenté de manière significative les niveaux d'expression de RIG-1, MDA5, ISG15 et MX1 dans les lignées cellulaires épithéliales pulmonaires humaines BEAS-2B. Aucun effet secondaire n'a été observé. Dans l'ensemble, la supplémentation en Biobran/MGN-3 a renforcé la réponse immunitaire innée des personnes âgées en augmentant l'activité NK associée à une réduction de l'incidence des SG. Il a également augmenté l'expression intracellulaire de RIG-1, MDA5, ISG15 et MX1 dans les cultures de tissus épithéliaux pulmonaires. Biobran/MGN-3 pourrait être un nouvel agent ayant des effets prophylactiques contre un large spectre d'infections virales respiratoires, ce qui justifie des recherches plus approfondies.


ImunoBran/MGN-3/BIOBRAN renforce la génération de cellules T CD8+ cytotoxiques via la régulation de l'expression de DEC-205 sur les cellules dendritiques   

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Objectif : Le son de riz arabinoxylane (MGN-3/Biobran) s'est avéré être un puissant modificateur de réponse biologique (BRM) qui active différentes branches du système immunitaire, y compris les cellules dendritiques (DC), qui stimulent les réponses des cellules T auxiliaires CD4+. La présente étude explore la capacité des cellules dendritiques activées par le MGN-3 à stimuler les cellules T CD8+ et examine les mécanismes qui sous-tendent cet effet. Des CD dérivées de monocytes humains ont été traitées avec du MGN-3 (20 et 40 µg/ml). Les résultats indiquent que le traitement au MGN-3 a permis aux DC de stimuler les cellules T CD8+ exprimant le granzyme B en plus grand nombre. Les DC MGN-3 stimulées par le lysat tumoral ont également augmenté la destruction des cellules tumorales par rapport aux cellules T CD8+ stimulées par les DC. Ceci a été associé à : i) une expression accrue de DEC-205 dans les DCs activées par le MGN-3 de manière dose-dépendante ; et ii) le MGN-3 a induit une production significative d'interféron de type III, IL29, mais pas d'IFNs de type I on et B. Ces résultats suggèrent que le MGN-3 est un puissant adjuvant naturel qui active efficacement les DCs et peut donc être utile pour monter une réponse immunitaire efficace contre les infections et le cancer.



Activation des cellules dendritiques humaines dérivées de monocytes in vitro par le modificateur de la réponse biologique Arabinoxylan Rice Bran (ImunoBran/MGN-3/Biobran)

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Objectif : Le son de riz arabinoxylane (MGN-3/Biobran) est un puissant modificateur de réponse biologique (MRB) qui active les cellules tueuses naturelles (NK), les cellules T et les monocytes. Actuellement, on sait peu de choses sur les effets du MGN-3 sur les cellules dendritiques (DC), le type de cellule qui fait le lien entre l'immunité innée et l'immunité adaptative. Nous avons donc examiné les effets stimulants du MGN-3 sur les cellules dendritiques. Des DC dérivées de monocytes humains ont été traitées avec du MGN-3 à différentes concentrations (5-20 µg/ml) pendant 24 heures in vitro. L'activation des DC a été déterminée en évaluant l'expression des marqueurs de co-stimulation et de maturation (CD40, CD80, CD83, CD86 et HLA-DR) par cytométrie de flux, et la production de cytokines par ELISA. La fonction des CD a été déterminée en évaluant leur capacité à activer les cellules T naïves. L'activation des cellules T a été évaluée en mesurant la prolifération cellulaire et la production de cytokines. Le traitement au MGN-3, de manière dose-dépendante, a entraîné : 1) une augmentation de l'expression de surface des CD83 et CD86 sur les DCs ; 2) une augmentation de la production de cytokines pro-inflammatoires et immuno-régulatrices (IL-lβ}, IL-6, IL-10, TNF-α, IL-12p40 et de faibles niveaux d'IL-12p70 et IL-2) par les DCs ; et 3) une prolifération des cellules CD4T induite par les DCs et leur production de cytokines, IFN-7, IL-10, IL-17, stimulée par le MGN-3. Les résultats suggèrent que le MGN-3 fonctionne comme un adjuvant naturel pour l'activation des DCs et peut donc être utilisé dans des stratégies vaccinales basées sur les DCs contre les infections et le cancer.





Expérience de l'administration d'ImunoBran/BioBran chez des patients atteints de rhumatisme chronique

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L'aliment fonctionnel, le dérivé d'arabynoxylane de son de riz (BioBran), a été administré pendant une longue période à des patients souffrant de rhumatisme chronique et recevant principalement des traitements symptomatiques à base de stéroïdes, afin d'évaluer son effet complémentaire avec les traitements représentatifs du rhumatisme, tels que les stéroïdes, les analgésiques et la thermothérapie. Les stéroïdes sont indispensables au traitement des rhumatismes, mais il est souhaitable d'en minimiser la dose, car ils peuvent provoquer des effets indésirables. Ces dernières années, de nombreux rapports ont été publiés sur les fonctions des ingrédients alimentaires, y compris les actions de piégeage des superoxydes et d'amélioration de la biophylaxie. Cette étude a évalué l'efficacité du BioBran, un matériau alimentaire fonctionnel. Le BioBran aurait pour effet d'activer les cellules tueuses naturelles (cellules NK) et d'inhiber l'inflammation. L'auteur a confirmé et rapporté qu'il soulageait les symptômes du froid chez les personnes âgées. La présente étude, dans laquelle 8 patients atteints de rhumatisme chronique ont reçu du BioBran pendant 6 à 12 mois, a démontré l'amélioration des symptômes et de la qualité de vie, ce qui suggère son efficacité.


Effets thérapeutiques de Biobran/ImunoBran, son de riz modifié à base d'arabinoxylane, sur l'amélioration des symptômes du syndrome du côlon irritable à prédominance de diarrhée ou de type mixte : Une étude pilote, contrôlée et randomisée 

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Objectif : Récemment, il a été révélé que l'inflammation des muqueuses de bas grade et/ou le déséquilibre immunitaire du tube digestif inférieur est l'un des mécanismes impliqués dans la génération de symptômes chez les patients atteints du syndrome du côlon irritable (IBS). Le Biobran, composé d'arabinoxylane dérivé du son de riz, a été signalé comme ayant plusieurs actions biologiques telles que des effets anti-inflammatoires et immuno-modulateurs. Nous avons donc étudié les effets thérapeutiques du Biobran chez les patients atteints du syndrome du côlon irritable. Méthode. Quarante patients souffrant d'un syndrome de l'intestin irritable à prédominance de diarrhée ou de type mixte ont été assignés de manière aléatoire soit à un groupe Biobran pour un traitement avec Biobran, soit à un groupe placebo. L'efficacité thérapeutique et les symptômes du SII ont été évalués subjectivement par les patients après 4 semaines d'administration. Résultats. L'évaluation globale a été efficace dans 63,2 % du groupe Biobran et dans 30 % du groupe placebo (P < 0,05, groupe Biobran versus groupe placebo). Le groupe Biobran a montré une diminution significative du score de diarrhée et de constipation et de la valeur de la CRP. Cependant, aucun changement significatif n'a été observé dans le groupe placebo. Conclusion : l'administration de Biobran a amélioré les symptômes du syndrome de l'intestin irritable. Il est probable que les effets anti-inflammatoires et/ou immuno-modulateurs de Biobran puissent être utiles aux patients souffrant du syndrome de l'intestin irritable.


Résumé des études sur ImunoBran MGN-3

Propriétés bénéfiques pour la santé et applications cliniques de l'arabinoxylane de son de riz modifié par l'enzyme du champignon Shiitake - une étude narrative

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Objectif : Le composé d'arabinoxylane de son de riz (RBAC) est dérivé du son de riz dégraissé hydrolysé avec l'enzyme mycélienne de Lentinus edodes. Il a été commercialisé en tant qu'aliment fonctionnel et nutraceutique aux propriétés bénéfiques pour la santé. Certaines recherches ont démontré que ce dérivé du son de riz est un puissant immunomodulateur, qui possède également des propriétés anti-inflammatoires, antioxydantes et anti-angiogéniques. À ce jour, la recherche sur le RBAC s'est principalement concentrée sur son action immunomodulatrice et son application en tant que thérapie complémentaire contre le cancer. Néanmoins, les applications cliniques de la RBAC peuvent aller au-delà de la thérapie du cancer. Cet article est une revue narrative de la recherche sur les bénéfices potentiels des RBAC pour le cancer et d'autres conditions de santé, basée sur la littérature disponible. La recherche sur les RBAC a montré leur utilité en tant que traitement complémentaire du cancer et de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine. Elle peut moduler positivement le métabolisme du glucose sérique, des lipides et des protéines chez les patients diabétiques. En outre, il a été démontré que la RBAC améliore le syndrome du côlon irritable et protège contre les lésions hépatiques causées par l'hépatite ou la stéatose hépatique non alcoolique. Elle peut potentiellement atténuer les symptômes du syndrome de fatigue chronique et prévenir le rhume. La RBAC peut être consommée en toute sécurité et n'a pas d'effets secondaires connus à la dose habituelle de 2 à 3 g par jour. Néanmoins, des recherches plus approfondies, tant au niveau des études fondamentales que des essais cliniques sur l'homme, sont nécessaires pour étudier les applications cliniques, les mécanismes et les effets de la RBAC.



Ces données sont-elles fondées sur une recherche clinique?

L'arabinoxylane contenu dans l´ImunoBran® MGN-3 s'appuie sur une recherche clinique très prometteuse (cf. clinical research), comprenant une quantité d'études réalisées sur des hommes et dont beaucoup ont été publiées dans des magazines de recension médicaux. Une recherche a eu lieu au sein de l'Université Charles R. Drew qui fait partie de l'Université californienne de Los Angeles, aux États-Unis, dans certaines cliniques et hôpitaux en Europe ainsi que dans diverses universités et centres de recherches médicales au Japon, y compris l'Université de Chiba, l'Ecole supérieure pour femmes de Kobé, l'Université de Médecine Djitshi, l'Université Nippon, l'Université de Kyushu, l'Université de Nagoya, l'Université de Kyoto, l'Université de médecine de Toyama et l'Université de Médecine Kawasaki.

Le chef des recherches sur le produit ImunoBran® MGN-3 est le Dr. Mamdooh Ghoneum, professeur à la Chaire d'immunologie de l'Université de Médecine et de Sciences naturelles Charles R. Drew aux États-Unis. Le Dr. Ghoneum, actuellement reconnu au niveau international dans le domaine de l'approche immunothérapeutique du traitement oncologique, a obtenu le titre PhD. en radio-immunologie à l'Université de Tokyo et consacre depuis son travail à l'immunologie à l'Université californienne de Los Angeles. 

En dépit du fait que la recherche de la réponse immunologique au composé d'arabinoxylane contenue dans le produit ImunoBran® MGN-3 a été positive en en présence de tout un éventail de maladies, il s'avère encore nécessaire d'approfondir les recherches cliniques in vivo qui contiendraient par ailleurs des études randomisées en double aveugle afin de déterminer exactement dans quelle mesure l'augmentation observée de la réponse immunitaire (notamment de l'activité des cellules NK) influence les statistiques de guérison et de survie dans le cas des maladies mentionnées.                                                                                                                                             

L'ImunoBran® MGN-3 est-il toxique de quelque manière ou possède-t-il des effets secondaires?

Non. Le composé d'arabinoxylane d´ImunoBran® MGN-3 est un produit naturel sans aucun effet secondaire indésirable et toxique. Ceci est confirmé par les analyses sanguines ainsi que par les examens de fonctionnement du foie et des reins des personnes auxquelles de hautes doses de ce produit ont été administrées sur une période de plusieurs mois. La seule contre-indication évidente réside dans le fait que, en tant qu'immunomodulateur ayant capacité de stimuler un système immunitaire affaibli, ce produit ne devrait pas être administré en combinaison avec des médicaments anti-immunitaires.

Bien que des enzymes de champignons entrent dans la composition du produit, il ne reste aucune trace de champignon dans le produit final, par conséquent il peut être prescrit chez les patients souffrant d'intolérance aux champignons sans craindre une réaction allergique. Le composé est approuvé par l'Association japonaise des aliments et alimentations sains et remplit également toutes les normes strictes d'évaluation conformément aux ordonnances du Ministère japonais de la santé.

Quelle est la dose d´ImunoBran® MGN-3 à prendre et quand devrait-on le prendre?

Etant donné que, en présence d´ImunoBran® MGN-3, l'organisme ne crée pas de résistance en cas d'utilisation prolongée dans le temps, ce complément alimentaire peut être administré en toute sécurité et avec efficacité sur une longue période sans besoin d'augmenter progressivement sa dose, contrairement aux autres immunomodulateurs.

Pendant la phase d'étude, ImunoBran® MGN-3 était généralement administré à raison de 45 mg/kg/jour en plusieurs doses après les repas, suivi d'une dose d'entretien de 15 mg/kg/jour. Selon les données de la recherche, pour maintenir une bonne santé, il est recommandé de prendre au moins 500 mg/jour (sauf en cas de coadministrassions avec de la levure) ; pour un soutien immunitaire plus important, il est recommandé de prendre 1000 mg/jour ; dans les cas graves où le système immunitaire est extrêmement affaibli, il est recommandé de prendre 3 g/jour pendant 2 mois, puis 1 g/jour.

L´ImunoBran® MGN-3 devrait être utilisé toujours après le repas (idéalement 20-30 minutes après) sachant que de plus grandes doses devraient être réparties en trois fois - après le petit- déjeuner, après le déjeuner et après le souper. Si le patient utilisant le produit est très malade, il peut conserver le dosage de 3 g par jour sur une période plus longue.

Nous recommandons aux patients de toujours informer leur médecin traitant lorsqu'ils prennent ImunoBran® MGN-3.


L´ImunoBran® MGN-3 est un complément alimentaire en Europe, aux Etats-Unis et au Japon depuis plus de 30 ans.